Je m’appelle pas vraiment MonVilain. Mais ça me va bien.
Je photographie ce qui reste. Ce qui dérange un peu. Ce qui flotte entre deux âges, deux phrases, deux regards.
Je travaille à l’argentique, souvent en noir et blanc. Je n’aime pas les effets. Je préfère les traces. Les corps flous, les visages vrais, les lignes qui penchent.
Je vis au bord de l’océan, dans un village où les histoires s’entassent sous les casquettes et les planches de surf. J’écris aussi, sans trop me poser de questions, quand ça sort, ça sort.
Parfois j’expose. Parfois je vends des tirages. Et parfois je publie ici — quand l’algorithme me fatigue ou que j’ai envie de dire les choses autrement.
Tu peux m’écrire si tu veux parler, accrocher une photo, ou me dire que t’as vu une erreur dans un texte. Ça me va aussi.
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