Sinon à part ça, on est en 2024. J’en ai profité pour faire du tri dans les comptes insta que je suivais. Le réveillon, c’est un bon moment pour se forcer à être heureux (alors que tu n’en as pas toujours envie), mais aussi pour traquer ceux qui jouent double jeu sur Instagram. N’ayons pas peur des mots, je suis en mode embuscade, à l’affût des stories.
J’ai déjà soulevé quelques fourbes dont les comptes étaient trop parfaitement subtils en apparence, mais qui finissent par se trahir avec une story de mauvais goût. Le genre de compte qui travaille son image pour donner l’illusion d’une vie parfaite, mais qui, dans un élan de faiblesse ou de trop-plein d’alcool, publie une story qui le dévoile. Un peu comme si tu prônais l’ouverture d’esprit, mais que tu publies une story contre les non-vax. J’ai un sixième sens pour ce genre de choses. Je supprime donc tous les comptes dont les story sont en totale opposition avec les profils. C’est totalement arbitraire, et je l’assume. Contrairement aux impôts, je n’accepte pas le droit à l’erreur. Dans ma conception de la vie, il n’y a pas de place pour les travestis, les faussaires. Je boycotte aussi les lieux qui proposent des pizzas ananas et les justifications du genre « oui, mais on en vend » ne fonctionnent pas. Donc depuis hier (revenons au sujet qui fâche), je me désabonnerai de tout compte (et j’ai commencé) comportant une story avec un des éléments suivants :
– Vos pieds à la plage
– Des chevaux ou chats (morts ou vivants)
– De l’analyse politique bidon
– Trop de fautes d’orthographe
– Les photos de vos plats du soir
– La Saint-Valentin et Halloween
– Toute photo grise censée être en noir
Ce sera déjà pas mal comme critères pour débuter l’année 2024.
C’est la loi de cause à effet (celle qui régit l’univers, donc que personne ne va remettre en question, sauf à être vraiment prétentieux ou idiot). Cette loi met en évidence la relation entre les actions et les événements. Alors, lorsque vous postez des stories, retenez qu’elles auront toujours des conséquences (positives ou négatives).
Virtuel ou pas, on n’échappe pas à sa destinée et à mon opinion désubjective.
Ou l’envoyer à quelqu’un de bien.